RUBRIQUEÂ : Politique
Des primaires trop compliquées ?
En vue des municipales, le parti socialiste organise des primaires citoyennes. De ce fait, tous les Marseillais inscrits sur les listes électorales pourront décider du candidat qui exprimera le mieux leurs idées au sein du Parti Socialiste.
“Bonjour, je suis candidat à la mairie de Marseille...”
« Salam...» Hacen Boukhelifa, fils de mineur algérien d'origine kabyle, cadet d'une famille de sept enfants. Avocat, professeur en droit des étrangers et membre de la ligue des droits de l'Homme de Marseille, entre autres. Et aussi candidat aux primaires socialistes pour les municipales 2014 dans la deuxième ville de France.
Entre rose et bleu marine
Sans surprise, la gauche a obtenu la majorité absolue à l’Assemblée Nationale. La victoire est large, mais ce scrutin restera marqué également par le retour du Front National au parlement. Même si la formation d’extrême-droite n’aura que deux députés, les scores réalisés, notamment dans la région, démontrent à quel point le parti de Marine Le Pen pèse sur la vie politique française.
Avec Hollande, un autre pays ?
De Mireille Mathieu à Yannick Noah, de Didier Barbelivien à Cali, d’Enrico Macias à Ridan. Le raccourci est un peu simpliste mais il est tout de même vraiment révélateur de ce qui s’est passé en cinq ans. Entre la célébration de l’élection de Sarkozy en 2007 à la Concorde, et la fête de la victoire de Hollande (ou de la défaite de Sarkozy) en 2012 à la Bastille, c’était un peu le grand écart. Et la démonstration qu’une autre France est possible.
"Si j’étais président…"
Nous voici à quelques heures du verdict de l’élection présidentielle. La campagne s’arrêtera définitivement ce soir à minuit. Et si on en profitait pour laisser la parole aux citoyens ? Bien qu’il ne soit pas toujours évident de parler politique, et encore moins de se glisser dans la peau des candidats, un couple de trentenaires marseillais, Gérald et Camille, a accepté de nous faire part de leurs préoccupations et des thèmes qu’ils auraient mis en avant, si eux-mêmes avaient eu la possibilité de se présenter à l’élection.
Une soirée du premier tour... (pas) comme les autres
Vous n’y avez sans doute pas échappé, dimanche dernier, c’était le premier tour des élections présidentielles en France. Cet article n’a pas pour objectif de vous rapporter ce que vous aurez déjà lu, vu et entendu sur TF1, France 24 , Le Monde, 20 minutes, France Info, Radio Galère ou encore au bistrot du coin, entre deux apéros de vos voisins de comptoir.
22, le FN revient !
A 20h, hier, selon le rituel bien huilé, la France entière est calée devant sa télé. Les deux premières têtes s’affichent. Pas de surprise, Hollande et Sarkozy se disputeront pour le fauteuil, c’était prévu. Ce qui suit l’était beaucoup moins. Avec environ 18% des suffrages, soit plus de 6 millions d’électeurs, Marine Le Pen et le Front National sont les seuls vainqueurs de ce premier tour. Loin devant Mélenchon et le Front de Gauche, le FN s’impose déjà comme la force d’opposition, quel que soit le verdict du second tour.
Choisissez votre président, pas votre peur !
Les présidentielles, c'est maintenant ! Dans deux jours aura lieu le premier tour et les "machines" politiques sont en surchauffe. C’est le cas du président-candidat, Nicolas Sarkozy. Ces derniers jours, à chaque meeting, Sarko a essayé de faire peur à la société française avec une possible gouvernance de la gauche : "A ceux de nos compatriotes qui veulent la gauche, je veux vous dire vous aurez la Grèce et vous aurez l'Espagne". Ses mots sont mon prétexte pour parler de mon cher pays, l’Espagne.
Du rouge aux joues
Marseille, 14 avril. Après Paris-Bastille et Toulouse-Capitole, c’est le troisième meeting en plein air pour le Front de Gauche et son candidat, Jean-Luc Mélenchon. 100 à 120 000 personnes se sont rassemblées sur les pelouses du Prado. Qui sont-elles ? D'où nous (re)vient cette gauche qu'on croyait disparue ?
En marche pour une VIème République
Il a de la gouaille et il le sait. Malgré cela, Jean-Luc Mélenchon refuse qu’on lui colle l’étiquette systématique de beau parleur, lui préférant celle de "candidat du peuple". A huit jours de l’échéance présidentielle, le candidat charismatique du Front de Gauche avait investi une plage du Prado pleine à craquer. Retour sur ce rassemblement citoyen.
Par Tony Off